Liège-Décroissance
Liège-Décroissance
Pétitions pas nécessairements clôturées
Repris du site du Collectif stop5G.be :
Le gouvernement de la Région bruxelloise prépare une ordonnance pour faire passer la limite de protection contre les champs électromagnétiques de radiofréquence (CEM-RF) de 6 à 14,5 V/m en vue du déploiement de la 5G(1). Dans le cadre de ce projet, Bruxelles Environnement(2) a rédigé un Rapport sur les incidences environnementales du projet d’ordonnance de même qu’un Résumé non technique de ce rapport, le tout soumis à une enquête publique à laquelle Bruxelles Environnement vous invite à « participer activement »(3).
Le Collectif stop5G.be vous invite également à participer, que vous habitiez la Région bruxelloise ou non(4). Pour ce faire nous vous suggérons de lire le résumé non technique (18 pages), voire le rapport lui-même (90 pages) ou de vous inspirer de la réponse à l’enquête ci-dessous :
- La page web de Bruxelles Environnement consacrée à l’enquête publique où trouver le rapport et son résumé.
- La réponse d’un porte-parole du Collectif à l’enquête publique.
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(1) Selon l’IBPT (Institut belge des services postaux et des télécommunications) et les opérateurs, la norme actuelle de 6 V/m de la Région bruxelloise ne permet pas le déploiement de la 5G.
(2) Bruxelles Environnement est l’administration de l’environnement et de l’énergie en Région de Bruxelles-Capitale qui, selon son site web, souhaite entre autres être « le moteur d’une ambition environnementale forte ».
(3) « Vos observations écrites peuvent être envoyées pour le 30 septembre au plus tard par mail ou par la poste (Bruxelles Environnement, Département Rayonnements et Technologies, av. du Port 86C/3000 à 1000 Bruxelles) ».
(4) « Toute personne physique ou morale, ainsi que les associations, organisations et groupes rassemblant ces personnes, qu’elles soient domiciliées en Région bruxelloise ou non, est en mesure de pouvoir participer à une enquête publique ».
Participer à la consultation sur le nouveau règlement sur les pesticides dans l’UE (minimaliste, pro-lobby) ne demande que quelques minutes. Voici une proposition de réponse mais attention, votre texte doit être différent sinon il ne sera pas pris en compte :
Cela fait de nombreuses décennies qu’il est bien connu que l'utilisation massive de pesticides a un effet dévastateur sur la biodiversité et notre santé. Cela n’a que trop durer !
La proposition de la Commission de l’UE est insuffisante pour un changement salutaire. 50 % de pesticide en moins d'ici 2030 est trop peu et sans commune mesure avec les enjeux. La Commission, le Conseil et le Parlement européen doivent s’engager à supprimer tous les pesticides d’ici 2030.
La réponse proposée par Générations Futures (l’organisateur de cette action) est plus longue et plus argumentée mais moins radicale dans la demande de réduction des pesticides.
- Signer : https://shaketonpolitique.org/consultations/consultation-europeenne-pesticides
- Plus d’information dans cette lettre du Tribunal Monsanto du 17 août 2022
Les règles de sécurité des OGM de l'UE sont menacées. Les grandes entreprises chimiques et semencières font pression sur l'UE pour qu'elle autorise la mise sur le marché de nouveaux organismes génétiquement modifiés (OGM) sans tests de sécurité, sans contrôle ni étiquetage pour les consommateurs. Ces entreprises font pression sur la Commission européenne depuis des années pour exclure les nouveaux OGM de la réglementation européenne sur les OGM, en faisant des déclarations non fondées sur les avantages supposés pour la durabilité. Mais comme elles détiennent également des brevets sur les semences conçues avec ces techniques, leur véritable motivation reste l'augmentation de leurs profits. Une telle prise de contrôle des semences par l'industrie menacerait gravement l'autonomie des agriculteurs en matière de semences et la biodiversité agricole dans son ensemble. Suite à la pression de l'industrie, la Commission européenne prend maintenant les premières mesures pour déréglementer les nouveaux OGM.
La pétition est disponible sur le site de la Coordination Européenne Via Campesina et sur le site de corporateeurope.org (en anglais).
Voir le site stopalibaba.com
Les milliardaires de la Silicon Valley fourbissent leurs armes pour envoyer en orbite basse des constellations de dizaines de milliers de satellites. Elon Musk (Tesla, Space X), Jeff Bezos (Amazon) ou encore Bill Gates (Microsoft) jouent une nouvelle fois avec les failles d’un système économique qu’ils ont coconstruits et le no man’s land juridique pour coloniser l’espace.
Le seul réseau satellitaire Starlink soutenu par Elon Musk devrait à terme compter plus de 40 000 satellites. Avant ce nouveau FarWeb, l’espace compte 2063 satellites.
Le ciel n’est pas à vendre !
Mesdames,
Messieurs les Ministres, membres des conseils scientifiques, ministres-présidents et autres « décideurs »,Par la présente, nous vous informons que nous avons désobéi, que nous désobéissons et que nous désobéirons encore.
Nous désobéirons encore parce que nous ne pouvons pas rester cloîtrés chez nous sans juste motif. Nous avons besoin de respirer sans peur et sans masque l’air plus pur de nos campagnes et celui pollué de nos villes. Nous demeurons, plus que jamais, dans le besoin d’entourer nos parents et grands-parents, d’embrasser et câliner nos enfants et petits-enfants, d’enlacer et soutenir nos frères, nos sœurs, nos amis.
[…]
LIRE et signer
Lettre ouverte au gouvernements à cosigner, à l'initiative de scientifiques et professionnels de la santé (Factor V et COVID-rationnel) :
« Nous soulignons l'impasse actuelle caractérisée par la stratégie inefficace de la vaccination de masse, ainsi que par la polarisation et la discrimination. Nous proposons également 10 points pour une meilleure approche dans un avenir proche et un peu plus lointain »
Lire et signer.
Jusqu’au 30 septembre 2021
Notre biodiversité est en danger comme jamais. Pour cette raison, la Commission européenne a fixé pour objectif dans son “Pacte Vert” de réduire de 50% l’utilisation de pesticides.
L’industrie des pesticides, leurs alliés au Parlement européen et dans les gouvernements nationaux attaquent cet objectif historique.
Il n’a jamais été aussi important que les citoyens européens fassent entendre leurs voix contre l’utilisation de pesticides. Exigeons une suppression des pesticides maintenant!
Signer
l’Initiative Citoyenne Européenne
En juillet 2018, les parlements wallon et bruxellois ont approuvé le déploiement des compteurs communicants (dits « intelligents »), grâce au soutien sans faille des députés MR et cdH.
Tôt au tard, tout un chacun se verrait ainsi imposé l’utilisation d’un compteur communicant. Ces compteurs présentent de nombreux défauts et risques divers pour notre santé, notre sécurité et notre environnement naturel.
Les asbl Fin du nucléaire et Grappe, ont mis en place un collectif pour contrer ces législations devant la Cour constitutionnelle.
Le site web et l'appel à dons du Collectif STOP compteurs communicants :
www.stopcompteurscommunicants.be
Pétition lancée le 1er février 2019. Signer.
Ils sont agriculteurs, bergers, forestiers, étudiants, propriétaires d’hôtels ou de restaurants. Ils vivent en Suède, au Portugal, en France, en Italie, en Allemagne et en Roumanie. Tous sont déjà victimes du changement climatique et en témoignent : Armando a perdu ses forêts dans les incendies qui ont décimé le Portugal, Sanna redoute de perdre son élevage de rennes menacé par la fonte du permafrost, Maurice peine à vivre de sa culture de lavandes du fait des sécheresses consécutives... Ensemble, ils ont décidé d’attaquer en justice l’Union européenne pour le manque criant d’ambition de ses objectifs climatiques. Ils interpellent les ministres de l’Environnement sur la révision de leurs engagements carbone.
– Pétition de soutien sur wemove.eu.
– Article sur Bastamag.
– Site du CAN (Climate Action Network), en anglais et allemand uniquement : info et pétition (la même).
Pétition contre le déploiement de la 5G initiée par l’association ondes.brussels à l’occasion de la publication de son rapport « 5G : des risques inconsidérés pour la santé et l’environnement » (novembre 2018).
Signer la pétition sur www.ondes.brussels.
Le gouvernement a annoncé la vente prochaine de la banque Belfius, détenue à 100% par l’État Belge et donc par la population. Cette décision n’a fait l’objet d’aucun débat et pourtant, en poussant la banque Belfius dans une seule logique de maximisation du profit, la vente – même partielle – aurait un impact important sur l’économie et la société belge.
Information et signature.
Enquête publique du PUM (plan urbain de mobilité de l’agglomération de Liège)
Liaison autoroutière CHB (entre Cerexhe-Heuseux et Beaufays)
Le Groupement CHB et les autres associations qui l'ont rejoint luttent depuis plus de trente ans contre un grand projet inutile, celui d’une liaison autoroutière à l’Est de Liège, entre Cerexhe-Heuseux et Beaufays, ont toujours eu conscience que ce projet était à la fois coûteux, contre-productif et nuisible. Aujourd’hui, la publication du PUM (Plan Urbain de Mobilité de l’agglomération liégeoise) leur donne raison. Ce document, non étayé pour ce qui concerne les impacts d’une autoroute de plus, contient en effet une étude d’incidence qui dénonce clairement les nuisances liées à la concrétisation de la liaison CHB. Quelques jours à peine après la marche des 75.000 pour le Climat, et face aux réponses insuffisantes de la Belgique en matière d’objectifs environnementaux, il est temps de se pencher sur le scandale de la réactivation à marche forcée d’un projet qui date du « tout-à-la-route » des années soixante. Si nous parvenons à l’arrêter par une mobilisation suffisante et par des protestations fondées ce projet obsolète et dangereux pourra céder la place à des investissements enfin efficaces en matière de mobilité durable et de respect de l’environnement.
Agissez !
Quelque soit votre lieu de résidence, vous avez jusqu'au lundi 7 janvier 2018 inclus pour réagir à l’enquête du PUM, en particulier par rapport à l'inclusion de la liaison autoroutière CHB.
Information et comment faire sur le site du Groupement CHB.
La Coalition Climat est une asbl qui réunit plus de 70 organisations de la société civile belge ; elle met en place une mobilisation nationale, Claim the Climate, en vue des 24e négociations climatiques (COP24) qui auront lieu à Katowice (Pologne), en décembre 2018.
– Pétition : Déclarons l’état d’urgence environnemental !
– Lettre à envoyer par la poste à Charles Michel et Jean-Claude Juncker (PDF à imprimer et signer).
– Info : État du climat, articles et rapport d'octobre 2018 du GIEC (Réchauffement planétaire de 1.5°C).
Liège sans pub
En 2017, le contrat qui unit depuis 15 ans la Ville de Liège à l’entreprise publicitaire JCDecaux arrivera à sa fin.
Et si on en profitait pour remettre en question la place de la publicité dans nos villes ?
Le M anifeste et signature
Voir aussi le site du Collectif Brandwashing (Belgique) pour le détournement des espaces publicitaires.
Nous, représentantes et représentants du Mouvement d’Action Paysanne, paysannes et paysans, productrices et producteurs, artisanes et artisans, travailleuses et travailleurs ruraux et mouvements associatifs partenaires qui les soutiennent.
Nous, avant tout citoyens, nous demandons à nos futurs élus de saisir l’occasion des élections communales de 2018 pour s’engager résolument et fermement en faveur des biens communs que nous leur confions. Nous sommes convaincus que l’agroécologie paysanne(1) est un levier et un pilier de la sauvegarde de notre environnement, un outil de résilience pour que nos sociétés puissent continuer à vivre, à produire et à se nourrir décemment aujourd’hui et dans le futur.
La suite sur le site du MAP (Mouvement d’Action Paysanne).
Cela fait maintenant un an que le scandale de Publifin et Nethys a éclaté. Pourtant Stéphane Moreau est toujours à la direction de Nethys. Pour le renvoi de Stéphane Moreau, signer la pétition www.moreaudehors.be
Pétition mise en place par le PTB. Attention : sur le formulaire de la pétition, l’option « Je veux recevoir la newsletter du PTB » est présélectionnée abusivement...
Consultation jusqu'au 5 novembre 2017
Le « Pacte énergétique », un plan pour le futur de l’énergie en Belgique jusqu’en 2050, avait été promis pour fin 2015 par la Ministre de l’énergie Marie-Christine Marghem et le gouvernement Michel. Aujourd’hui, la Ministre met en œuvre une consultation publique : « en remplissant le questionnaire en ligne vous pourrez nous faire part de votre avis sur la vision, le cadre, les mesures et les objectifs proposés. » lit-on sur le site de la consultation.
En fait de plan, rien n'existe, tout au plus un document non public de 42 pages seulement qui, de l'avis de ceux qui ont pu le consulter, est sans utilité, n'étant qu'un catalogue d'intentions vagues et non chiffrées. Sur la question cruciale de la sortie du nucléaire, il laisse la porte ouverte à une nouvelle prolongation des réacteurs en 2025.
Lire la suite sur la page consacrée à cette « consultation » : informations dont le texte et la vidéo de Bouli Lanners sur ce pacte et comment remplir le questionnaire de la consultation (avec des suggestions dont la demande de démission de la Ministre).
Pour soutenir ou s'investir dans le mouvement antinucléaire, voir le site de l'association Fin du nucléaire, www.findunucleaire.be.
Parmi les objectifs de cette ASBL créée en janvier 2017, il y a « L’arrêt immédiat des cinq réacteurs belges dont la probabilité d’accident grave est des plus élevées : les réacteurs Tihange 2 et Doel 3 dont les cuves présentent des milliers de fissures et les trois réacteurs les plus vétustes (plus de 40 ans), Tihange 1, Doel 1 et Doel 2 ».
C'est pour venir en aide aux petits agriculteurs en panne de terres que l'ASBL Terre-en-vue a vu le jour en Belgique, à l'initiative de quelques bénévoles et avec l'appui du Réseau de soutien à l'agriculture paysanne. L'ASBL sert de plate-forme de contact entre les agriculteurs qui tentent de s'installer et les propriétaires sensibilisés à la problématique de l'accès à la terre et au développement durable. Mais elle cherche aussi à conscientiser le monde politique et les consommateurs. Pas mal de citoyens se posent la question de leur alimentation, se sentent insatisfaits des produits qu'ils trouvent en supermarché, s'intéressent aux produits locaux, remarque la juriste Zoé Gallez, l'une des chevilles ouvrières de Terre-en-vue.
Lire l'article sur le site de la Libre, Trouver une terre? La galère.
Pour faire un don ou souscrire une part, voir le site de Terre-en-vue.
Au jour d’aujourd’hui, les principales banques belges investissent, au total, encore plus de 40 milliards d’euros dans les combustibles fossiles. Or, ces investissements constituent un risque énorme pour la planète et pour nos épargnes. En effet, pour respecter l’accord de Paris et limiter le réchauffement de la planète à 1,5°C, 85% des réserves de charbon, de pétrole et de gaz connues à ce jour doivent rester enfouies dans le sol.
Demandez à votre banque de ne plus investir votre argent dans les combustibles fossiles (envoi d'un courriel type modifiable) :
bankroute.be
L’Union européenne ne possède pas de normes cohérentes en matière de protection des sols. People4Soil, un réseau d’ONG européennes, d’instituts de recherches, d’associations agricole et environnementale lance une initiative citoyenne européenne pour exiger la mise en place d’une législation spécifique (dont en Belgique et particulier la Ceinture Aliment Terre Liégeoise et la Fédération Inter-Environnement Wallonie). Elle a pour objectif de faire reconnaître le sol comme un bien commun et appelle à la mise en place de mesures de protection, de programmes d’assainissement des sols dégradés ou encore de garanties en terme d’accessibilité.
Soutenons l'initiative citoyenne européenne (ICE) People4Soil qui vise à recueillir un million de signatures en faveur de la protection des sols (un peu plus sans doute car il faut atteindre un nombre minimum de signatures dans au moins sept États de la CE). Il nous reste jusqu'au 12 septembre 2017 pour atteindre l'objectif.
Information et signature : https://www.people4soil.eu/fr/
Le CETA n'aura pas été signé ce jeudi 27 octobre 2016 comme prévu. C’est une première victoire qui en appelle d’autres car les tenants du libre-échangisme et du néo-libéralisme ainsi que les oligarques de tout poil d'Europe et d'ailleurs n’ont certainement pas dit leur dernier mot. De fait, la signature a finalement été apposée par les pays de l'UE et le Canada, le 30 octobre, après l'épisode de la résistance du Gouvernement wallon :
nous avons maintenant un « nouveau CETA » à peine différent de l'ancien, toujours aussi calamiteux pour les populations concernées
Intervenons dans la prochaine étape, le vote du CETA au Parlement européen qui aura lieu durant le 15 février 2017 (2 reports de date déjà...) ; faisons pression sans tarder sur nos députés en leur posant cette question clé : vous engagez-vous à voter contre le CETA ? Début février 2017, nous étions plus de 100.000 citoyens européens a l'avoir fait. Et vous ?
L’association stop-ttip.org a mis en place pour ce faire le « CETA CHECK! », avec un accès facile aux députés européens par pays et par groupe politique : rendez-vous sur https://stop-ttip.org/fr/cetacheck/
Mode d'emploi :– Choisir le député à contacter en cliquant sur la flèche (« > ») située à droite de l'encart de Marie Arena (elle est la 1ère de la séquence des 20 députés belges).
– Cliquer sur le rectangle à fond rouge « Demandez lui de voter contre CETA ! ».
– Remplir le formulaire.
Note : vous avez la possibilité de contacter en même temps tous les autres députés belges de son groupe parlementaire - à faire !
– Cliquer sur le rectange « Soumettre ».
Remarque : en cliquant sur l'icône « i » à droite du nom du député, vous avez accès aux coordonnées du député, pour lui téléphoner, lui envoyer un SMS, un courriel, un fax ou une lettre.Vous y trouverez aussi les informations suivantes :
– les réponses de vos députés à 15 questions de fond,
– quels sont ceux qui ont déjà dit qu'ils voteraient contre le CETA et
– le nombre de demandes des citoyens (CETA CHECK!) que chacun d'entre eux ont déjà reçues.
En novembre 2016, 455 associations ont signés cet appel commun (voir la liste des signataires) dans lequel elles demandent aux villes et aux gouvernements provinciaux et régionaux de faire entendre leurs voix au cours du processus de ratification.
Elles exigent que les gouvernements, à tous les niveaux, entreprennent des consultations démocratiques approfondies, avec la participation de la société civile, sur les fondements d'une politique novatrice d'échanges commerciaux basée sur la justice sociale et le respect de l'environnement.
Elles exhortent le Parlement européen, le Parlement canadien, ainsi que les parlements nationaux et régionaux qui ont leur mot à dire lors de la ratification, à défendre les droits et intérêts des populations qu'ils représentent face aux menaces que pose le CETA et de voter contre la ratification de l'accord.
– Le 12 janvier 2017, la commission ENVI (environnement) du PE s'est prononcée pour le CETA, un comble ! Trois des 4 députés belges membres de cette commission ont voté pour le CETA : Frédérique Ries, Ivo Belet et Tom Vandenkendelaere. Bart Staes a voté contre.
– La monumentale arnaque du CETA (CEO, novembre 2016). Deux courts extraits :
– ...le CETA reste ce qu’il a toujours été : un assaut contre la démocratie, contre les travailleurs et contre l’environnement.
– Le CETA se résume à établir une longue liste de ce que les gouvernements et les parlements n’ont plus le droit de faire. Si, par exemple, ils veulent lutter contre le changement climatique ou contre les inégalités sociales, ou s’ils veulent encore règlementer
le secteur bancaire ou faire marche arrière en cas d’échec de privatisations, ou bien s’attaquer à tout autre problème urgent de notre époque. Dans les faits, le CETA aggravera nombre de ces problèmes.
Le CETA peut aussi condamner les gouvernements à payer lorsqu’ils optent pour des politiques environnementales et des politiques favorables aux citoyens, choix pour lesquels ils les ont élus.– Étouffer le débat à tout prix, nouvelle décision effarante au Parlement européen (17 novembre 2016).
– « Nouveau CETA » ou mystification ? (AITEC, 7 novembre 2016, 22 pages).
– La signature du CETA ou les joies de la post-démocratie (Frédéric Viale, 1er novembre 2016).
[...] Quoiqu'il en soit, après plus de cinq ans de négociations et dix-huit mois de mise en forme juridique, la Commission européenne et le Canada ont bricolé en moins de deux semaines deux textes qui ont rendu possible que la Belgique revienne à la raison libre-échangiste :[...]– 11 universitaires canadiens encouragent la Wallonie à résister aux pressions (17 octobre).
– Pour d'autres articles et documents à propos du CETA, voir ce répertoire.
*Autres sigles pour le GMT : TAFTA (Trans-Atlantic Free Trade Agreement), PTCI (Partenariat transatlantique sur le commerce et l’investissement), TTIP (Transatlantic Trade and Investment Partnership) et APT (Accord de Partenariat Transatlantique).
**AECG : Accord économique et commercial global (CETA : Comprehensive Economic and Trade Agreement). Contrairement au GMT (UE-États-Unis), les négociations entre l’UE et le Canada ont déjà abouti, mais l'accord doit encore être ratifié par le Parlement européen et, ensuite, s'il passe ce cap, par les Parlements nationaux.Si vous ne voulez pas laisser les multinationales décider pour vous ce qui est bon pour elles, soutenez l'Initiative Européenne (IE) contre le TTIP (cette initiative prolonge l'initiative citoyenne européenne - ICE - clôturée début octobre 2015).
– Signez en ligne : stop-ttip.org.
– Téléchargez le formulaire de collecte de signatures (le nouveau formulaire d'octobre 2015 pour l'Initiative Européenne contre le TTIP).
– Vérifier la progression par pays.
– La liste des quorums par pays.Historique
Information sur le GMT et l'AECGPourquoi avoir organisé une initiative citoyenne européenne (ICE) auto-organisée ? Parce que, en septembre 2014, la Commission européenne a rejeté la procédure d’enregistrement d'une ICE introduite par un collectif d’associations, l’Alliance stop Tafta (dont le mpOC fait partie, avec plus de 300 associations de l'UE). Pour rappel, l'ICE avait été introduite dans le traité de Lisbonne de 2007 en étant présentée comme « une grande avancée de la démocratie » et réputée comme devant être signée par 1 million de citoyens de l’UE (en fait, il y a une contrainte supplémentaire d’un minimum de signatures a atteindre dans 7 États membres au moins - ce minimum est le quorum par pays, quorum qui est défini en fonction du nombre des ressortissants d'un pays ; par exemple 15.750 pour la Belgique).
Ce premier objectif a été atteint le 8 décembre 2014 avec 1 million 62 milles signatures, 2 mois seulement après le lancement de l'ICE auto-organisée (le 7 octobre 2014) ; le quorum étant atteint par ces 7 États : l'Allemagne, le Royaume Uni, l'Autriche, la France, la Finlande, la Slovénie et Luxembourg. Par la suite ils ont été rejoints par les Pays Bas, l'Espagne et l'Irlande et enfin la Belgique qui sera le 11ème État à atteindre le quorum, le 31 janvier 2015 (à cette date : 1.343.000 signatures au total).
Le 2ème million de signataires a été atteint le 8 juin 2015 et le 3ème million l'a été à 48 heures de la date de clôture officielle de l'ICE auto-organisée qui est le 6 octobre 2015 (à minuit, soit 1 an après son lancement). Le décompte final au 6 octobre 2015 est de 3.284.289 (voir ce bilan par pays). Bravo à tous les signataires !
La collecte des signatures continue après le 6 octobre 2015 dans le cadre de ce qui est appelé l'Initiative Européenne contre le TTIP (IE - pour faire une distinction avec l'ICE auto-organisée). Parallèlement, l'action en justice contre la Commission se poursuit afin que l'ICE auto-organisée soit reconnue comme une ICE officielle (plus d'info - en anglais).
Vidéos
Vidéos courtes d'introduction aux conséquences et d'action contre le GMT :
– Excellente vidéo de 2 minutes qui nous viens d'Espagne (en espagnol, avec sous-titres en français).
– TAFTA ta gueule à la récré (4 min).
– Introduction ludique (4 min) : Abdel sur le Traité transatlantique.Documents sur le site du mpOC-Liège
– GMT (TAFTA) :
– Un dossier sur le GMT.
– Guide citoyen pour déclarer votre commune hors-GMT
et agir dans votre commune pour sensibiliser vos concitoyens.
– Divers documents dans la rubrique :
Articles, classement par thème , voir la section Europe.
– AECG (CETA) : CETA-TAFTA, des traités jumeaux pour détruire la souveraineté des peuples (Raoul Jennar, septembre 2014) et Marchander La Démocratie (CEO et d'autres associations, novembre 2014).
– Traités de libre-échange : citoyens bafoués, multinationales souveraines (Robert Joumard, plus de 200 pages).
– Une des raisons d'être optimiste (du moins si nous retroussons nos manches) : Comment l’AMI fut mis en pièces.Autres sites
– Le site de la campagne belge de Stop TTIP & CETA, campagne mise en place en mai 2016 : www.stopttip.be
– Le site de la plateforme No-Transat.be
– Le site de l'Alliance D19-20
– Le site de Raoul Marc Jennar
– Le Collectif Stop-TAFTA (FR)
– AITEC
– Le site bilaterals.org (un site trilingue de résistance aux accords commerciaux bilatéraux, en tant que véhicules du capitalisme mondial)
Lettre ouverte à destination des parlementaires européensÀ l’heure où le Parlement européen se prépare à émettre un avis à propos de l’accord UE-USA de Grand marché transatlantique, 375 associations et organisations syndicales de 25 pays de l’UE, dont le mpOC, signent une lettre ouverte commune à destination des parlementaires européens (3 mars 2015) : elles mettent en garde nos représentants et les citoyens du danger que représenterait la conclusion de cet accord pour les libertés, la protection des individus et de leurs droits ainsi que de l’environnement naturel. Cet accord est le cheval de Troie des entreprises multinationales en vue d’un véritable coup d’état pour une main mise sur les processus de décisions parlementaires, aidées en cela par des fonctionnaires de l’UE non mandatés ni par les citoyens, ni par leurs représentants.
– Lire la lettre (en français, avec les signataires)
– La lettre dans d'autres langues.
Actions contre le GMT :Consultez l'agenda pour les actions anti-GMT à venir.
Des communes se déclarent Hors GMT (Hors TTIP) : voir le site nottip.be pour l'inventaire de ces communes et comment faire de même.
Anciennes actions anti-GMT (archives).
Une campagne organisée par SOS-FAIM et soutenue par une quarantaine d’organisations belges et ouest-africaines demandant à la Belgique de revoir les modalités de sa participation à la Banque mondiale (BM). Aujourd’hui, la Belgique alloue ± 130 millions €/an à la BM et elle siège dans les instances décisionnelles de la BM, comme administrateur. Notre pays y joue donc un rôle actif. Pourtant, bien que le mandat de la BM soit d’œuvrer pour le développement, dans les faits, ses financements et ses politiques sont en contradiction avec le soutien aux agriculteurs familiaux – dont le gouvernement belge a fait une priorité –, en favorisant des projets agricoles à large échelle et les industries extractives. La BM augmente la pression sur les terres, l’eau et les forêts et encourage l’agriculture intensive et l’exploitation des ressources naturelles, aux dépens des droits des communautés locales sur ces ressources (expulsion des paysans, etc.).
L’objectif de la campagne est de modifier les modalités de participation de la Belgique au fonctionnement/financement de la BM. Les 130 millions attribués annuellement à la BM sont octroyées comme un chèque en blanc (pas de débat au parlement, le ministre décide seul). Les positions et décisions de la Belgique au sein du Conseil des administrateurs et du Conseil des gouverneurs ne font l’objet d’aucune ligne directrice, aucune communication ou contrôle démocratique. Et ni la société civile ni les parlementaires ne sont informés de la position que la Belgique défend de façon générale et sur des dossiers sensibles en particulier.
Une majorité écrasante de la population européenne rejette les OGM et de nombreux États membres ont interdit leur mise en culture. Cependant, les entreprises de l’agrochimie ont trouvé une nouvelle recette pour faire entrer les OGM dans nos champs et nos assiettes : contourner la réglementation européenne en affirmant que les OGM issus de nouvelles techniques ne sont en réalité pas des OGM.
Si les industriels parviennent à leurs fins, des plantes et des animaux génétiquement modifiés pourraient très vite arriver dans nos champs et nos assiettes. Ils ne seraient pas soumis aux obligations d’évaluation des risques ou d’étiquetage. En réalité, comme leur présence serait passée sous silence, il sera impossible de s'en protéger et impossible de faire le choix d'une alimentation sans OGM!
Cette pétition est d'envergure européenne et souhaite montrer à la Commission européenne la détermination des citoyens avant qu'elle se positionne sur le statut de ces nouvelles biotechnologies. Il est impératif qu'elles soient au minimum soumises aux obligations d’évaluation des risques, d’étiquetage et de traçabilité. Soyons nombreux à la signer !
Pétition portée en France et initiée en Europe par plusieurs organisations paysannes et de la société civile (Les Amis de la Terre, Confédération paysanne, Réseau semences paysannes, Greenpeace France, France Nature Environnement,...)
Plus de 160 scientifiques engagés dans l’étude des effets biologiques et médicaux des champs électromagnétiques (CEM) non ionisants* mettent en avant les effets délétères de ces champs sur la santé des hommes et de toutes les espèces vivantes. Ils demandent des mesures de protection efficace par rapport à ces champs électromagnétiques, dont, en particulier, les micro-ondes utilisées dans les techniques sans fil.
– L'appel (PDF) adressé à Ban Ki-moon, Secrétaire général des Nations Unies, à Margaret Chan, Directrice générale de l'OMS et aux États membres des Nations Unies.
– Vidéo en français de l'appel présenté par le docteur Martin Blank (Ph.D., Columbia University, USA).
14 MB, 4 minutes, traduit par Next-up organisation. Le script original en anglais (PDF).Au 14 mai 2015, 205 scientifiques avaient signé l'appel : voir la liste des signataires classés par pays.
Si vous êtes un scientifique ou médecin engagé dans l’étude des effets biologiques et médicaux des CEM, contactez EMFscientist.org pour ajouter votre signature à l'appel.Appel pour les médecins
Bientôt un 2ème appel complémentaire sera mis en place, à signer par tout médecin qui le souhaite. Information à venir.
* Champs électromagnétiques, CEM (en anglais EMF, Electromagnetic fields). Les CEM non ionisants sont des champs électromagnétiques dont l'énergie n'est pas suffisante pour modifier directement les liaisons chimiques des atomes dans les molécules.
À l'initiative de Christophe Bonneuil*, une centaines de personnalités engagées appellent à une insurrection contre les fauteurs du crime climatique : « Par le passé, des femmes et des hommes déterminé.e.s ont mis fin aux crimes de l’esclavage, du totalitarisme, du colonialisme ou de l’apartheid. Elles et ils ont fait le choix de combattre pour la justice et l’égalité et savaient que personne ne se battrait à leur place. Le changement climatique est un enjeu comparable et nous préparons une insurrection similaire. »
* historien, co-auteur de l'essai L’Evènement Anthropocène. La Terre, l'histoire et nous.
Lire l'appel complet et le signer sur le site de 350.org...
Cet appel est accompagné d'un livre disponible dans toutes les bonnes librairies (Crime Climatique Stop ! L’appel de la société civile. Le Seuil), avec des contributions de nombeux auteurs, d'excellentes et de moins bonnes... (Pablo Solon, Christophe Bonneuil, Desmond Tutu, Geneviève Azam, Valérie Masson-Delmotte, Clive Hamilton, François Gemenne,...). Lire l'introduction de ce livre (PDF).
Note : il est dommage que cet appel ne fasse pas mention du nucléaire, une autre forme d'énergie fossile et à l'origine d'une autre forme d'écocide (lire cette article de Jean-Marie Matagne : COP21, climat et nucléaire - On ne guérit pas la peste en propageant le choléra).
Quel est l'engagement des pays en vue de la réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre ? À la date du 27 août 2015, seul le Bhutan ferait très bien tandis que 3 autres pays feraient ce qu'il faut (Costa Rica, Éthiopie et Maroc). Voir le classement sur le site de Climate action tracker (en anglais).
En l’état actuel des engagements des États de ce Monde pour la réduction des émissions des gaz à effet de serre en vue de la COP21* à Paris, si ceux-ci sont effectivement appliqués**, le réchauffement moyen à la fin du siècle sera de plus de 4 °C par rapport à l’ère préindustrielle et d’environ 10 °C en 2300, ce qui bien évidemment signifie la disparition de l’espèce humaine et, à sa suite, de bien d’autres, dont tous les vertébrés. Le GIEC (2014) recommande de ne pas dépasser les 2° C tandis que les plus récentes études des climatologues et spécialistes des Sciences de la Terre posent une limite à 1,5 °C (à ce jour, en 2015, le réchauffement est de 0,9 °C).
* COP-21 : 21ème conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), du 30 novembre au 11 décembre 2015 à Paris.
** Ces engagements sont non contraignants.
Un jugement positif a été rendu le 23 novembre 2015. Il ne doit pas vous empêcher de signer la pétition, d'une part pour soutenir l'action des bomspotters et d'autre part car la procédure n'est sans doute pas terminée. Extrait du communiqué publié sur le site web des bomspotters :
Verdict du procès : la désobéissance civile reconnue.
Ce lundi 23 novembre 2015 le tribunal correctionnel de Mons a rendu public son verdict en annonçant une suspension du prononcé pour les 7 bomspotters qui s’étaient introduits dans le Quartier général européen de l’OTAN, le « SHAPE », en 2012. Soit une assez bonne nouvelle puisqu’ils évitent ainsi les 5 ans de prison et la lourde amende qu’ils risquaient selon le code pénal. Ce jugement reconnait pleinement la bonne foi des accusés dans leur intention de recourir à la désobéissance civile en vue d’alimenter le débat sur la question des armes nucléaires américaines présentes sur le sol belge et d’avertir le grand public des risques qu’elles représentent. La cour a même été jusqu’à reconnaître la pertinence de la désobéissance civile comme garantie du système démocratique.
Lors de l’audience du 26 octobre, les accusés avaient insisté sur le caractère purement politique de leur acte et n’avaient plaidé la suspension du prononcé qu’à titre infiniment subsidiaire. Ceci afin de voir cette affaire être transférée en cours d’Assise, là où l’on juge les crimes politique. Ce verdict est certes un soulagement pour les accuséEs, mais il ne reconnait juridiquement pas leur acte comme un crime politique pur, mais plutôt comme un crime politique mixte. Une nuance de taille qui motivera ou non leur volonté d’aller en appel.
« En février 2012, des bomspotters se sont introduits dans le Quartier général européen de l’OTAN (le « SHAPE ») et en ont diffusé des images sur le net.
L’action menée par ces activistes pacifistes s’inscrivait dans la campagne « NATO GAME OVER / BOMSPOTTING » d’Agir pour la Paix et de Vredesactie, qui dénonçait la présence d’une vingtaine de bombes nucléaires sur le sol belge et la préparation à l’emploi de celles-ci par l’armée belge.
Après avoir utilisé en vain tous les moyens légaux qui étaient à leur disposition, ils ont fait le choix d’agir de manière nonviolente mais plus déterminée, en pénétrant dans l’enceinte du SHAPE pour une inspection citoyenne, ceci en restant fidèles aux principes de la désobéissance civile.
Ce procès devrait être celui de l’arme nucléaire et non de ceux qui luttent pour un monde sans violence et sans la menace d’y recourir. »
Note du mpOC-Liège
La présence de bombes nucléaires étasuniennes en Belgique constitue une violation du Traité de non-prolifération des armes nucléaires : les États-Unis ne peuvent les transférer à d’autres pays (Article 1 du Traité). La Belgique, en tant qu’État non-nucléaire, est dans l’obligation de ne pas en recevoir de qui que ce soit (Article 2).
Ces bombes sont stockées en Belgique hors de tout contrôle démocratique. Personne ne sait par exemple quel est leur nombre exact (une vingtaine peut-être ou plus). De même sans aucune consultation du Parlement, les bombes actuelles, modèle B61, vont être remplacées par le modèle B61-12 qui sont en fait d’une tout autre nature : une bombe B61-12 peut être larguée à distance (environ 100 km) et est guidée par un satellite sur la cible, contrairement à la B61 qui doit être larguée par l’avion porteur au-dessus de la cible. Pas de consultation non plus sur les dépenses bien entendu : de fait la Belgique prend à sa charge les dépenses de maintenance et de d’adaptation des bunkers de stockage, au moins pour la plus grande partie, sinon pour la totalité.
À quand un procès et une condamnation pour violation du Traité de non-prolifération des armes nucléaires de la Belgique et de ses dirigeants qui ont accepté et acceptent la présence de ces bombes sur le sol belge depuis de très nombreuses années ?
La déclaration de Bruxelles du 18 mai 2015 (déclaration scientifique Internationale sur l’Electrohypersensibilité et la sensibilité aux produits chimiques multiples), à la suite du 5ème Colloque de l’Appel de Paris qui s’est déroulé le 18 mai 2015 à l’Académie Royale de Médecine de Belgique.
L’appel International à l’ONU du 11 mai 2015 : les scientifiques demandent une protection efficace contre les expositions à des champs électromagnétiques d’ondes non-ionisantes.
Signer la pétition.Montrons notre désaccord face à la présence de militaires dans les rues.
La CNAPD, la Ligue des droits de l’Homme et Vrede vzw, conseillés et soutenus par le Progress Lawyers Network, lancent une procédure contre la présence des militaires dans les rues et appellent les associations de la société civile à soutenir leur action (le 5 mai 2015).
Le déploiement de l’armée dans les rues est une mesure illégale car elle n'est en effet un recours ultime en démocratie. L’article 43 de la loi de 1998 organisant un service de police intégré présente dès lors une double condition pour déployer les militaires dans les rues : 1. une menace imminente et 2. la police locale et/ou fédérale n’a pas les moyens suffisants pour répondre au niveau de menace.
Afin d’étendre le plus possible le soutien associatif à cette démarche et pour nous permettre de couvrir les frais judiciaires importants liés à ce dossier, nous faisons appel à vous.
Ainsi, nous appelons toutes les associations désireuses à marquer leur soutien par retour de mail ainsi qu’à verser leur participation sur le compte : BE49 0010 6244 8171, avec la communication : « rue sans soldats + le nom de votre association ».
Plus d'information sur les sites du CNAPD et de la Ligue des droits de l'Homme : www.cnapd.be et LigueDH.be.
L'affiche.
En Angleterre, dans le Somerset, le groupe Électricité de France (EDF) et le gouvernement anglais veulent construire sur le site nucléaire de Hinkley Point comprenant déjà les 2 centrales A (2 réacteurs arrêtés) et B (2 réacteurs en activité), une nouvelle centrale nucléaire, Hinkley Point C, constituée de 2 réacteurs EPR* d'une puissance totale de 3,2 GW. Ce projet n'est toutefois finançable que parce qu'il serait massivement subventionné par l'État britannique, ce qui constitue une très nette violation de la loi européenne sur la protection de la concurrence. Le gouvernement anglais se propose de garantir l'emprunt (privé) qui sera fait pour la construction de la centrale (20 milliards d'€ au moins) et un prix de vente du kWh hors norme à l'opérateur (EDF).
Tous les citoyens de l’UE peuvent déposer un recours officiel devant la Commission Européenne (sans frais) pour contester cette décision. Si la pression exercée par les citoyens européens est plus forte que l’influence du lobby nucléaire, nous pourrons amener la Commission à revenir sur cette mauvaise décision.
– Plus d'informations sur ce projet de centrale et l'action (dont un film d'animation de 3 minutes).
– Introduisez votre recours (voir cet exemple de la lettre telle qu'elle sera envoyée à la CE si vous signez ce recours).
*EPR : European Pressurized Reactor. Un réacteur à eau pressurisée conçu par la société Areva. Deux réacteurs de ce type sont en construction en Europe, à Flamanville (FR) et l'autre à Olkiluoto (Finlande) : les retards et les surcoûts s'accumulent, avec plus de 5 ans et plusieurs milliards d'€ pour chacun.
Par ma signature, je demande la révocation du brevet EP 1597965 sur le brocoli coupé accordé à Monsanto. Il s'agit d'un brevet portant sur les plantes, les semences et les produits de la récolte issus de méthodes de sélection conventionnelle[...] En outre, je demande instamment aux gouvernements des États membres de la Convention sur le brevet européen de s'engager en vue d'arrêter l'octroi de ces brevets.
Signer cette pétition internationale !
Une initiative de CNAPD, Agir pour la Paix, Intal, Pax Christi Vlaanderen, Vredesactie, Vrede vzw.
Avec le soutien du mpOC et de nombreuses autres associations.
Les motivations : – Les belges ne veulent pas de nouveaux avions de chasse. – L’État belge n’a pas de milliards d’euros à dépenser. – Les missions militaires n’amènent ni la paix, ni la stabilité. – Nous voulons un débat public et démocratique.
Le détail des motivations (PDF, 1 page).
Pour plus d'information et signer : www.pasdavionsdechasse.be.
Dans un contexte où les mauvais coups se multiplient en Grèce (corruption de députés, désinformation, restriction des libertés démocratiques…) pour empêcher la victoire possible du mouvement de gauche Syriza aux élections législatives prévues le 25 janvier, voilà que le FMI annonce la suspension de son « aide » et que le commissaire européen à l'économie Pierre Moscovici s'adresse directement aux électeurs grecs pour leur dire dans quel sens voter. Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, déclare quant à lui qu'il « n'aimerait pas que des forces extrêmes arrivent au pouvoir » à Athènes[...]
Union européenne, dirigeants européens, FMI, agences de notation : cessez votre chantage, votre ingérence dans la campagne électorale grecque ! Laissez le peuple décider !
– Plus d'information et signature de cette initiative internationale.
– Vous pouvez aussi signer une 2ème initiative similaire émanant de Belgique.
Il manque une banque !
Soutien au projet de création de la banque coopérative New-B : ilmanqueunebanque.be
Pétition mise en place suite à l'interview accordée à l'hebdomadaire Knack par le gouverneur de la Banque nationale : en effet, Luc Coene y déclare, à propos de NewB, qu'il y a déjà trop de banques en Belgique...