Liège-Décroissance
Liège-Décroissance
Sommaire
Baqué Philippe (et Hind Aïssaoui Bennani, Pierre Besse, Michel Besson, Clémentine Cirillo-Allahsa, Patrick Herman, Laetitia Mailhes, Silvia Pérez-Vitoria).
La Bio entre business & projet de société. Agone, 2012, 432 p.
Lire l'introduction (PDF).Nicolino Fabrice. Bidoche, l’industrie de la viande menace le monde. Édition Les liens qui libèrent, 2009.
Pérez-Vitoria Silvia. Manifeste pour un XXIe siècle paysan. Actes Sud, 2015, 192 pages.
Saporta Isabelle. Le livre noir de l'agriculture. Fayard, 2012, 252 p.
Serreau Coline. Solutions locales pour un désordre global. Actes sud, 2010, 168 p.
Aubert Claude, Le Berre Nicolas. Faut-il être végétarien ? Pour la santé et la planète. Terre vivante, 2007, 152 p.
Foer Jonathan Safran. Faut-il manger les animaux ? Éditions de L’Olivier, janvier 2011, 362 pages. Points, février 2012.
Goodall Jane. Nous sommes ce que nous mangeons. Babel, 2008, 379 p.
Grappe (Daniel Cauchy, Rocio Gomez Canca). 10 bonnes raisons de manger moins de viande. 36 p.
Leureux Garance. Ma cuisine végétarienne pour tous les jours. La plage, 2006, 384 p.
Vieille Blanchard Élodie et Laporte René (contradicteurs). Birlouez Éric (médiateur). Faut-il arrêter de manger de la viande ? Le choc de idées. Le muscadier, 2014, 128 p.
Broswimmer Franz J. Une brève histoire de l’extinction en masse des espèces. Agone, 288 pages. Lire cette recension.
Ecorev n° 38. Quelle(s) valeur(s) pour la biodiversité ? 2011.
Maris Virginie. Philosophie de la biodiversité - Petite éthique pour une nature en péril. Buchet/Chastel, 2010, 213 pages. Voir cette présentation du livre.
Voir aussi les rubriques : Énergie, Nucléaire et Limites.
Morena Édouard. Fin du monde et petits fours. Les ultra-riches face à la crise climatique. La Découverte, 2023.
Lire une recension du livre par Jean-Baptiste Fressoz.
Araud Christian. La décroissance ou le chaos. Parcours d’un consultant international. Le pédalo ivre, 2012.
Araud Christian. Préludes à la transition Pourquoi changer le monde ? Sang de la terre, 2012.
Ariès Paul. Décroissance ou barbarie. Golias, 2005.
Ariès Paul. Désobéir et grandir. Vers une société de décroissance. Les Éditions Écosociété.
Ariès Paul. La décroissance. Un nouveau projet politique. Editions Golias, 2009, 365 pages.
Azam Geneviève. Le temps du monde fini, vers l'après-capitalisme. Les liens qui libèrent, 2011, 222 pages.
Bayon Denis, Flipo Fabrice, Schneider François. La décroissance - 10 questions pour comprendre et en débattre. La Découverte, Paris, 2010.
Réédition avec une postface inédite de Denis Bayon, 2012, 248 pages.
Besson-Girard Jean-Claude. Decrescendo Cantabile. Parangon, 2005, 170 p.
Besset Jean-Paul, Comment ne plus être progressiste… sans devenir réactionnaire , Fayard, 2005.
Castoriadis Cornelius. Une société à la dérive. Entretiens et débats, 1974-1997. Points, 2005, 389 pages.
Castoriadis Cornelius. Post-scriptum sur l'insignifiance. Éditions de l'Aube, 2008, 37 p.
Cheynet Vincent. Le choc de la décroissance. Seuil, 2008.
Cheynet Vincent. Décroissance ou décadence. Le pas de côté, 2014.
Cornil Jean, Legros Bernard. La pertinence de l'escargot. En route vers la décroissance ! Sang de la terre, 134 pages. Info.
D’Alisa Giacomo,
Demaria Federico et Kallis Giorgos. Décroissance. Vocabulaire pour une nouvelle ère. Le passager clandestin, 2015, 529 pages.
Disponible en PDF.
Dufoing Frédéric. L'écologie radicale. Infolio, 2012, 157 pages.
Duverger Timothée. La décroissance, une idée pour demain. Sang de la terre, 2011, 235 pages.
Felli Romain. Les deux âmes de l'écologie - Une critique du développement durable. L'Harmattan, 2008. Lire le texte d'une conférence de Romain Felli sur ce sujet.
Gadrey Jean. Adieu à la croissance. Bien vivre dans un monde solidaire. Les petits matins, 2012 (2ème édition), 224 p.
Georgescu-Roegen Nicholas. La Décroissance. Éditions Pierre-Marcel Favre, 1979, 213 p. (traduction du roumain par Jacques Grinevald et Ivo Rens). En PDF (213 pages, 700 Ko).
Gorz André. Écologica. Galilée, 160 pages.
Granstedt Ingmar. Peut-on sortir de la folle concurrence ? Petit manifeste à l'intention de ceux qui en ont assez. 2006, 51 pages. En PDF.
Harpagès Didier. Questions sur la croissance. Mythes et perversités. Sang de la terre, 2012.
Latouche Serge. Le pari de la décroissance. Fayard, 2006.
Latouche Serge. Petit traité de la décroissance sereine. Édition Mille et une nuits, 2008, 171 pages.
Latouche Serge et Harpagès Didier. Le temps de la décroissance. Th. Magniez, 2010.
Latouche Serge. Sortir de la société de consommation. Les liens qui libèrent, 2010.
Latouche Serge. Vers une société d'abondance frugale. Édition Mille et une nuits, 2011, 208 pages.
Latouche Serge. L'âge des limites. Édition Mille et une nuits, 2012, 148 pages.
Latouche Serge, Cochet Yves, Dupuy Jean-Pierre, George Susan. Où va le monde ? Éditions Mille et une nuits, 2012, 76 pages.
Latouche Serge. Les précurseurs de la décroissance. Une anthologie. Le Passager Clandestin. 2016, 300 pages.
L’étude des précurseurs de la décroissance prouve que la vision que recouvre ce slogan provocateur est ancienne, profonde et diversifiée, et que ce sont bel et bien la croissance et ses serviteurs zélés qui constituent une parenthèse dans l’histoire de l’humanité et de la pensée.
Latouche Serge. La décroissance. PUF, collection Que sais-je ?, 2019, 128 pages.
Lire cet extrait sur le développement durable.
Latouche Serge. Travailler moins, travailler autrement ou ne pas travailler de tout. Éditions Rivages. Août 2021, 160 pages.
« Le slogan du président Macron Travailler plus pour gagner plus est obscène. Pas tant par ce qu'il va à l'encontre des tables de la loi, mais d'abord parce que les horaires actuels de travail sont déjà excessifs. Ils dévorent la vie, étouffent la citoyenneté, engendrent le stress et la souffrance. Travailler plus est d'autant plus absurde et obscène, qu'à défaut de changement d'orientation, cela ne peut qu'accélérer le moment de la catastrophe écologique. C'est pourquoi il nous faut un nouveau mot d'ordre : travailler moins pour vivre mieux ! ».
Legros Bernard, Jean-Noël Delplanque. L'enseignement face à l'urgence écologique. Editions Aden, 2009, 240 pages.
Lepesant Michel. Politique(s) de la décroissance. Propositions pour penser et faire la transition. Utopia, 2013.
Méheust Bertrand. La politique de l’oxymore. Comment ceux qui nous gouvernent masquent la réalité du monde. La Découverte, 2009.
Michéa Jean-Claude. Le complexe d’Orphée. La gauche, les gens ordinaires et la religion du progrès. Climats, 2011.
Morris Williams. Serge Latouche présente William Morris. Comment nous pourrions vivre. Le passager clandestin, 89p, 2010.
Mylondo Baptiste. Un revenu pour tous ! Les Editions Utopia – En PDF.
Pallante Maurizio. La décroissance heureuse. Ed. Nature & Progrès, 221 pages, 2011.
Lire le chapitre 14, Décroissance, travail et emploi.
Perrot Marie-Dominique. Mondialiser le non sens. L’Âge d’Homme, 2001, 28 pages.
Rabourdin Sabine. Les sociétés traditionnelles au secours des sociétés modernes. Delachaux Et Niestle.
Ridoux Nicolas. La décroissance pour tous. Parangon, 2006.
Tertrais Jean-Pierre. Du développement à la décroissance. De la nécessité de sortir de l’impasse suicidaire du capitalisme. Le Monde Libertaire, 2006.
Tordjman Hélène. La croissance verte contre la nature – Critique de l’écologie marchande. Éditions La Découverte, 2021.
Vétillard Alban. Croissance et écologie. Concilier l’homme avec la société de demain. Sang de la Terre, 2013, 226 pages.
Objectif décroissance (Serge Latouche, Mauro Bonaïuti, François Schneider, Jacques Grinevald, Pierre Rabhi, Serge Mongeau, Paul Ariès, Vincent Cheynet, Fabrice Flipo,...). Silence, 2003, 224 pages.
Antiproductivisme, altermondialisme, décroissance. Latouche Serge, Guibert Bernard (dir). contributeurs : Geneviève Decrop, Fabrice Flipo, Bruno Clémentin, Francine Bavay... Parangon, 2006.
Non au capitalisme vert (Paul Ariès, Aurélien Bernier, Maurice Charrier, Vincent Cheynet, Philippe Corcuff, Sophie Divry, Gilbert Dumas, Véronique Gallais, Philippe Godard, Catherine Levraud, Stéphane Lhomme, Corinne Morel Darleux, Laure Pascarel, Denis Vicherat, Yannis Youlountas). Parangon. 2009, 192 p.
Décroissance ou récession. Pour une décroissance de gauche. Ariès Paul (dir.), avec les contributions de Thierry Brugvin, Michel Lepesant, Serge Latouche, Baptiste Mylondo, Jean-Luc Pasquinet, Anne Jordan, Vincent Liégey, Bernard Legros, Stéphane Lavignotte, Michel Weber, Jean-Claude Besson-Girard, Fabrice Flipo, Jean Cornil, Michael Singleton, Thierry Brulavoine, Angélique del Rey et Miguel Benasayag. Parangon, 2011.
Notre décroissance n’est pas de droite. Lepesant Michel (dir.), avec des contributions de Paul Ariès, Thierry Brulavoine, Alain Dordé, Serge Latouche, Bernard Legros, Michel Lepesant, Pierre Lucot, Sylvie Maréchal, Baptiste Mylondo, Jean-Luc Pasquinet, Maïta Lucot, Martine Tiravy, Jérôme Vautrin, Elodie Vieille-Blanchard, Annie Vital. Golias, 2012.
L’antiproductivisme. Un défi pour la gauche ? Lepesant Michel (dir.), avec des contributions de Paul Ariès, Geneviève Azam, Thierry Brulavoine, Thierry Brugvin, Jérôme Desquilbet, François Jarrige, Sergio Ghirardi, Philippe Gruca, Bernard Legros, Michel Lepesant, Laurence Lyonnais, Jean-Luc Mélenchon, Roxanne Mitralias, Corinne Morel-Darleux, Baptiste Mylondo, Jean-Luc Pasquinet, Irène Pereira, Ghislaine Soulet, Agnès Sinaï, Christian Sunt, Martine Tiravy, Elodie Vieille-Blanchard, Annie Vital, Michel Weber. Parangon, 2013.
Penser la décroissance. Politiques de l’anthropocène. Sinaï Agnès (dir.). Les presses de sciences-po, 2013.
Radicalité. 20 penseurs vraiment critiques. Biagini Cédric, Carnino Guillaume et Marcolini Patrick (dir.), avec les contributions de Christophe David, Philippe Caumières, Daniel Cérézuelle, Jean-Luc Porquet, jean Robert, Renaud Garcia, Patrick Vassort, Aurélie Puybonnieux, Charles Robin, François Jarrige, François Bordes, Silvia Pérez-Vitoria, Olivier Rey, Fabrice Flipo, David Forest, Aude Vincent, Charles Jacquier. L’Echappée, 2013.
Fourel Christophe (sous la direction de). André Gorz : un penseur pour le XXIe siècle. La Découverte.
Grappe. Penser et agir avec Illich, Balises pour l'après-développement. Éditions Couleur Livre, 2006.
Une collection publiée par Le passager clandestin et dirigée par Serge Latouche.
Revenir sur les sources proches ou lointaines du projet de construction d’une société d’abondance frugale est une juste reconnaissance de dette et une source d’enrichissement. Des petits volumes pour faire connaître à un large public la richesse et la complexité de la pensée de la décroissance, en deux parties : un spécialiste présente l'auteur, puis un texte ou un ensemble d’extraits de textes de l’auteur illustrent sa vision.
Les précurseurs de la décroissance faisant l'objet d'un ouvrage (liste non complète) :
Murray Bookchin, Diogène, Léon Tolstoï, Lanza del Vasto, Jean Giono, Charles Fourier, Jacques Ellul, Épicure, Cornelius Castoriadis, Pierre Kropotkine, Lao-tseu, André Gorz, Theodore Roszak, Lewis Mumford, Serge Moscovici, Baudrillard, « Gravelle, Zisly et les anarchistes naturiens », Simone Weil, Walter Benjamin, Alexandre Chayanov, George Orwell, Bernard Charbonneau…
Voilà pourtant de longs siècles que le monde dure,
que les sociétés se déroulent et se succèdent,
pareilles les unes aux autres, qu'un fait unique domine toutes les histoires :
la protection aux grands, l'écrasement aux petits.
Octave Mirbeau, La Grève des électeurs, 1888.
Éditions Allia, 44 p.
Chollet Antoine. Défendre la démocratie directe. Presses polytechniques et universitaires romandes, 2011, 122 p. Lire le premier chapitre (PDF).
Sintomer Yves. Petite histoire de l'expérimentation démocratique. Tirage au sort et politique d'Athènes à nos jours. La Découverte, 2011, 336 p.
Collectif. Défaire le développement, refaire le monde (Jean-Pierre Berlan, François Brune, Ivan Illich, Serge Latouche, Marie-Dominique Perrot, Majid Rahnema, Gilbert Rist, Michael Singleton,...). Parangon, 2003.
Latouche Serge. Survivre au développement. Édition Mille et une nuits, 2004, 128 pages.
Partant François. La fin du développement. Naissance d’une alternative. François Maspero, 1982.
Partant François. La ligne d’horizon. Essai sur l’après-développement. La Découverte, 1988.
Pérez-Vitoria Silvia. Manifeste pour un XXIe siècle paysan. Actes Sud, 2015, 192 pages.
Arnsperger Christian. Éthique de l'existence post-capitaliste. Les Éditions du CERF, 2009.
Arnsperger Christian. L’homme économique et le sens de la vie. Petit traité d’alter-économie. Textuel, 2011.
Bonfond Olivier. Et si on arrêtait de payer ? Editions Aden, 2012, 224 p. Info
Cochet Yves. Pétrole apocalypse. Éditions Fayard, 2005, 202 pages.
Dessus Benjamin. Déchiffrer l’énergie. Ed. Belin, 2014, 384 pages.
Heinberg Richard. Pétrole : la fête est finie ! Éditions Demi-Lune, 2008, 384 p.
Heinberg Richard. La Fin de la croissance : s’adapter à notre nouvelle réalité économique. Éditions Demi-Lune, 2012, 416 p.
Heinberg Richard, David Fridley. Un futur renouvelable : tracer les contours de la transition énergétique. Écosociété, 2019, 264 pages. L’original en anglais est disponible en ligne gratuitement.
Illich Yvan. Énergie et équité. Le Seuil, 1973, 57 pages.
L’édition de 1975, avec une annexe de J.-P. Dupuy, est inclue dans les Oeuvres complètes, volume 1 (Fayard, 2004, 792 pages). Disponible en PDF (avec quelques coquilles...).
Alexievitch Svetlana. La supplication : Tchernobyl, chronique du monde après l'apocalypse. Éditions J'ai lu. Première parution en 1997. Info.
Belbéoch Bella et Roger. Tchernobyl une catastrophe. 80 pages, 1993.
En PDF.
Bergé Christine. Superphénix, déconstruction d'un mythe. La découverte. 2010.
Busby Chris, Bertell Rosalie, Schmitze-Feuerhake Inge et Scott Cato Molly. Étude des effets sur la santé de l’exposition aux faibles doses de radiation ionisante à des fins de radioprotection. Éditions Frison-Roche, 2004.
En PDF et en anglais
, la dernière édition (2010).
Collectif du mouvement Utopia. Nucléaire: Idées reçues et scénarios de sortie. Les Editions Utopia, 2011.
Collectif. Fukushima & ses invisibles. Les éditions des mondes à faire. 2018, 202 p.
Delfour Jean-Jacques. La condition nucléaire. Réflexions sur la situation atomique de l’humanité. L'échappée, 2014, 296 p.
Dupuy Jean-Pierre. Retour de Tchernobyl. Journal d'un homme en colère. Seuil, 2006.
Ferrier Michaël. Fukushima. Récit d'un désastre. Première parution en 2012. Collection Folio, Gallimard.
Gadault Thierry, Demeude Hugues. Nucléaire : danger immédiat. Et ça se passera près de chez vous ! Flammarion, 2018, 286 p.
Kempf Hervé. Le nucléaire n'est pas bon pour le climat. Seuil, septembre 2022, 60 pages. Extraits à lire sur le site de Reporterre.
Laponche Bernard, Dessus Benjamin. En finir avec le nucléaire - Pourquoi et comment. Éditions du Seuil, 176 pages.
Lenoir Yves. La comédie atomique. L’histoire occultée des dangers des radiations. Éditions La Découverte, 2016, 320 p.
Lire cette interview suite à la parution de ce livre.
Mizubayashi Akira. Petit éloge de l'errance. Folio.
Molitor Marc. Tchernobyl – Déni passé – Menace future ? Éditions Racine, 288 pages, 2011.
En PDF.
Pasquinet Jean-Luc, Lucot Pierre. Nucléaire arrêt immédiat. Pourquoi, comment ? Le sénario qui refuse la catastrophe. Éditions GOLIAS, 2012.
Petitjean Marc. De Hiroshima à Fukushima. Le combat du Dr Hida face aux ravages dissimulés du nucléaire. Éditions Albin Michel, 179 p.
Réseau Makhno (Bernard Laponche, Annie Thébaud-Mony…). La Pieuvre nucléaire. Editions du Monde libertaire. 192 pages, 2024, 5 €.
Ribault Nadine et Thierry. Les sanctuaires de l'abîme. Chronique du désastre de Fukushima. Éd. L'Encyclopédie des nuisances, 2012.
Shihiro Nozomi. La farce cachée du nucléaire. 250 pages, 2017.
Tawada Yoko. Journal des jours tremblants. Après Fukushima. Précédé de « Trois leçons de poétique ». Verdier, 2012, 128 p. Info.
Vadrot Claude-Marie. La centrale indémontable. 2012.
Yablokov A.V, Nesterenko V.B., Nesterenko A.V.et Preobrajenskaya N.E.Tchernobyl (PDF, disponible gratuitement). 2015, 400 pages.
Les auteurs estiment à propos des émissions radioactives de l’explosion du réacteur numéro 4 de la centrale de Tchernobyl que : « Cette émission, même sans prendre en compte les radionucléides gazeux, a atteint plusieurs centaines de millions de curies, une quantité des centaines de fois plus importante que les retombées des bombes atomiques larguées sur Hiroshima et Nagasaki ». Ce livre a été réédité plusieurs fois dont l’édition publiée dans les Annales de l’Académie des Sciences de New-York (Chernobyl, Consequences of the Catastrophe for People and the Environment, 2015).
Autres livres
(Extrait de la page « Livres » du site IndependentWHO – Santé et Nucléaire. Certains de ces livres sont disponibles gratuitement en PDF).
Voir aussi la section Biodiversité, en particulier le livre de Franz Broswimmer.
Les ouvrages particulièrement conseillés parmi ceux ci-dessous : Les limites à la croissance (Meadows et autres) et L'Événement Anthropocène (Bonneuil et Fressoz).
Bonneuil Christophe, Fressoz Jean-Baptiste.
L'Événement Anthropocène.
La Terre, l'histoire et nous. Points (Seuil) 2016, 336 pages.
Édition révisée et augmentée de l'ouvrage paru en octobre 2013.
Brown Lester R. Basculement. Rue de l'échiquier, 2011, 320 p.
Lire : – Un extrait du livre, Deux visions de notre futur.
Cochet Yves. Antimanuel d'écologie. Éditions Bréal, 2009, 312 p.
Diamond Jared. Effondrement, Comment les sociétés décident de leur disparition ou de leur survie. Folio, 896 p.
Lire : – L'homme, cet animal suicidaire peint par Jared Diamond, Frédéric Joignot (Le Monde, 27 septembre 2012) ; – le blog du Monde Diplomatique sur ce livre.
Duterme Renaud. De quoi l’effondrement est-il le nom ? La fragmentation du monde, Utopia, 2016.
Gancille Jean-Marc. Ne plus se mentir. Petit exercice de lucidité par temps d'effondrement écologique. Rue de l'échiquier, 2019, 96 p.
Hamilton Clive. Requiem pour l’espèce humaine. Les Presses de Sciences-Po, 2013.
Lebreton Philippe. Le futur a-t-il un avenir ? Sang de la Terre, 2012, 384 pages.
Meadows Donella, Meadows Dennis, Randers Jorgen. Les limites à la croissance.
C'est la traduction de la 3e édition du rapport du Club de Rome parue en 2004 sous le titre The Limits to Growth, the 30-Year Update (la 1ère édition étant parue en 1972 sous le titre The Limits to Growth) :
Morel Darleux Corinne. Plutôt couler en beauté que flotter sans grâce. Réflexions sur l’effondrement. Les éditions Libertalia, 2019.
Lire la réponse qu’elle a faite à la question « Y a-t-il un sens à prédire la fin du monde ? » dans le mensuel La Décroissance du mois d’octobre 2019.
Servigne Pablo, Stevens Raphäel. Comment tout peut s’effondrer. Petit manuel de collapsologie à l’usage des générations présentes. Seuil, 2015.
Pollution électromagnétique : voir la bibliographie du site electrosmog.be
Nous voulons des coquelicots. Fabrice Nicolino et François Veillerette. Les Liens qui Libèrent, septembre 2018, 128 pages.
Simplicité volontaire ou sobriété choisie, un terme que certains préfèrent au premier.
Ariès Paul. La simplicité volontaire, contre le mythe de l'abondance. La Découverte, 2010.
Ariès Paul. Décroissance et gratuité. Moins de biens, plus de liens. Éd. Golias, 2010.
Biagini Cédric et Thiesset Pierre (direction). Vive la simplicité volontaire. Histoire et témoignages. Le Pas de côté et L’Echappée, 2014.
De Bouver Émeline. Moins de biens, plus de liens. La simplicité volontaire : un nouvel engagement social. Couleur Livres, 2008.
Fromm Erich. Avoir ou être ? Éditions Robert Laffont. Original : To Have or to Be?, 1976.
Pallante Maurizio. La décroissance heureuse. Ed. Nature & Progrès, 221 pages, 2011.
Lire le chapitre 14, Décroissance, travail et emploi.Rabhi Pierre. Vers la sobriété heureuse, Actes sud, 2010.
Amiech Mathieu, Mattern Julien. Le cauchemar de Don Quichotte. Sur l’impuissance de la jeunesse aujourd’hui. Climats, 2004.
Il y a dans notre génération comme une conscience diffuse et douloureuse qu'il est de plus en plus difficile de ne pas être un salaud, dans ce qu'on fait au quotidien et qui nous fait vivre.
Bihouix Philippe, de Guillebon Benoît. Quel futur pour les métaux. EDP sciences, 2010, 300 pages.
Bihouix Philippe. L'Âge des low tech. Vers une civilisation techniquement soutenable. Le Seuil, 2014, 336 pages. Lire cette interview de Philippe Bihouix.
Bourdineaud Jean-Paul. La science outragée. Résurgence, 2023, 256 pages.
Jean-Paul Bourdineaud est professeur à l’Université de Bordeaux où il enseigne la biochimie, la toxicologie environnementale et la microbiologie.
Carnino Guillaume, Pièces et mains-d’œuvre, Izoard Celia, Biagini Cédric. La tyrannie technologique. L’Echappée.
Krief Hervé. Internet ou le retour à la bougie. Quartz, 2018.
Thebaud-Mony Annie. La science asservie. Santé publique : les collusions mortifères entre industriels et chercheurs. La Découverte, 2014, 224 pages.
Par ordre chronologique inverse :
Fabien Lebrun. L’échappée, octobre 2024, 432 pages.
« Une enquête implacable sur la tragédie que vit le Congo, cœur des industries numériques et objet de toutes les convoitises.
À partir des années 1990, l’explosion de la production de biens électroniques, caractéristique du passage du capitalisme à son stade numérique, déclenche une guerre des métaux technologiques au Congo (RDC) qui n’a fait que gagner en intensité. Cette enquête fouillée montre que la dématérialisation est bel et bien un mythe.
Elle se nourrit d’un extractivisme sans limites dans des régions, comme celle des Grands Lacs en Afrique, qui subissent depuis des siècles les ravages de la mondialisation : de la traite négrière à la terreur coloniale du roi belge Léopold II (pour le « caoutchouc rouge » nécessaire à l’industrie automobile) jusqu’aux minerais de sang actuels (dont le coltan, essentiel aux smartphones, et le cobalt, pour la transition énergétique).
La civilisation de l’écran est synonyme d’une barbarie numérique qui se manifeste au Congo par : une économie militarisée et une criminalité institutionnalisée, un pillage généralisé, du travail forcé, le viol comme arme de guerre, la destruction des forêts et l’anéantissement de la biodiversité… Autant de catastrophes qui font du Congo l’une des plus grandes tragédies de l’histoire contemporaine, le prix fort à payer pour un monde connecté. »
Yves Marry. Rue de l’échiquier, février 2024, 144 pages.
La recension de Pierre Thiesset dans le journal La Décroissance du mois de mars 2024 :
« Chaque smartphone qui s’allume est un monde qui s’éteint » : Yves Marry a pu l’observer en Birmanie, où il a vécu de 2014 à 2018. Alors que le pays était un des moins connectés au monde, sa numérisation fulgurante a détruit la chaleur humaine, les sourires, l’hospitalité, la culture populaire – dans les bars, les guitares et les chants se sont tus. Les regards ont été siphonnés par les écrans. Depuis son retour en France, avec l’association Lève les yeux qu’il a cofondée, Yves Marry s’évertue à défendre l’attention contre les technologies intrusives, qui accaparent le temps de cerveau humain disponible. Son nouveau livre numérique : On arrête tout et on réfléchit ! constitue une excellente synthèse sur les ravages de l’hyperconnexion. II montre en quoi cette numérisation à marche forcée, imposée par l’industrie et les gouvernements qui la servent, conduit à un désastre environnemental, menace la démocratie et la vie commune, dévaste l’intériorité, porte atteinte au développement des enfants, nous conduit droit l’abrutissement et à la déshumanisation. Tout en s’adressant au grand public, l’auteur s’appuie sur des penseurs que vous avez déjà croisés dans nos colonnes et revendique pleinement la nécessité de la décroissance : « Ma conviction est que la déconnexion numérique peut, et doit, constituer la première étape vers la “décélération”, elle-même incontournable pour avancer vers la décroissance. Dernier stade du développement industriel, la “révolution numérique” doit être démantelée si on souhaite “ralentir”, et donc décroitre. » Sitôt ce livre refermé, j’ai décidé d’en offrir un exemplaire au maire adjoint chargé des affaires scolaires de ma commune, où un plan numérique de 78 000 euros a été voté pour connecter les classes de maternelle à internet et les doter de tablettes, de vidéoprojecteurs, d’ordinateurs, de tableaux interactifs, de logiciels. Espérons que cet ouvrage contribue à ouvrir les yeux !
Fabien Lebrun. Éditions Le Bord de l’eau, 2020, 178 pages
« L’auteur présente une critique inédite des écrans de façon systémique et transdisciplinaire, de leur consommation à leur production par les enfants eux-mêmes notamment en Afrique.
Maintenant que certains dangers des écrans pour les enfants sont connus, d’autres restent encore à exposer. Aussi, est-il nécessaire d’élargir la critique de la consommation à une critique de la production pour saisir la destruction totale et inouïe des enfants par les écrans. Des enfants surexposés des pays riches aux enfants exploités et massacrés du reste du monde (spécialement au Congo), le désastre environnemental et humain est effarant, dont les GAFA et consorts ont une lourde responsabilité. Il est urgent de refuser collectivement les écrans du capitalisme afin de préserver l’enfance et les enfants ».
Manfred Spitzer. lechappee.org, 2019.
Michel Desmurget. Seuil, 2019
Le désastre de l’école numérique : plaidoyer pour une école sans écrans.
Philippe Bihouix et Karine Mauvilly, Seuil 2016
Eco Umberto. Reconnaître le fascisme. Grasset. 2010 (1997 pour l’édition originale en italien), 52 pages.
Eco Umberto. Reconnaître le faux. Grasset. 2018 (extrait de Sur les épaules des géants – douze conférences prononcées entre 2001 et 2015), 61 pages.
Serge Latouche. Jacques Ellul contre le totalitarisme technicien. Le passager clandestin, 112 pages, 2013.
Orwell George. Mille neuf cent quatre-vingt-quatre. George Orwell. Agone, 2021 (1949), 450 pages. Extraits et commentaires sur le site d’Agone.
Mise au point de l’auteur sur 1984
Déclaration adressée en 1950 à Francis Henson, dirigeant de l’United Automobile Workers, et reproduite avec de légères variantes dans plusieurs revues américaines : « Mon roman récent, 1984, n’a pas été conçu comme une attaque contre le socialisme ou contre le Parti travailliste britannique (dont je suis un sympathisant), mais comme une dénonciation des perversions auxquelles une économie centralisée peut être sujette et qui ont déjà été partiellement réalisées dans le communisme et le fascisme. Je ne crois pas que le type de société que je décris arrivera nécessairement, mais je crois (compte tenu, bien entendu, du fait que ce livre est une satire) que quelque chose qui y ressemble pourrait arriver. Je crois également que les idées totalitaires ont partout pris racine dans les esprits des intellectuels, et j’ai essayé de pousser ces idées jusqu’à leurs conséquences logiques. L’action du livre se déroule en Grande-Bretagne, pour souligner que les peuples de langue anglaise ne sont pas par nature meilleurs que les autres, et que le totalitarisme, s’il n’est pas combattu, pourrait triompher partout ».
Encel Stéphane. Le monde selon Orwell. Les éditions du cerf, mai 2023, 192 pages.
Une sélection de 14 romans, d’essais, de BD pour changer notre rapport au vivant (par Reporterre, décembre 2022).
Baschet Jérôme. Adieux au capitalisme. Autonomie, société du bien vivre et multiplicité des mondes. La Découverte, 2014. Lire cet interview.
Hopkins Rob. Manuel de transition de la dépendance au pétrole à la résilience locale. Éditions Écosociété et S!lence, 2010 (traduction de Transition Handbook. Chelsea Green, 2008).
Imagine demain le monde. Dossier villes en transition. Tiré-à-part du numéro 83 de ce périodique (janvier 2011). www.imagine-magazine.com. 20 pages.